Francis tenait à cœur d’organiser un séjour avec un certain dénivelé. Ceux qui le connaissent bien savent qu’avec lui, il y en a toujours ! Il était stressé !!!!
Nous étions tous prêts mercredi matin à partir vers le soleil, unis par la même passion : le vélo, et par l’envie de découvrir les richesses culturelles de cette belle région.
Dès notre arrivée, un peu tardive ! nous avons eu la chance d’être reçus dans un excellent restaurant, malgré un premier déjeuner un peu venteux et sous un ciel gris. L’accueil y a été des plus chaleureux.
Le lendemain, direction les gorges de la Nesque pour une superbe balade, avec un bon petit dénivelé comme on les aime. N’est ce pas Francis !!! Chacun à son rythme, sans jamais se perdre de vue. Le soleil était de la partie, le décor magnifique. Robert et Marie-Claude se baladaient tranquillement, main dans la main, (de l’humour) profitant pleinement du moment.
Puis vint la montée emblématique… le Mont Ventoux !
Chacun a gravi le Géant de Provence à son rythme, avec courage et détermination. Un grand bravo à toutes et tous ! Une mention spéciale à ma sœur, notre « petites papates » : elle en rêvait, elle l’a fait ! Même la nuit, elle en rêvait encore.
Le retour a été un peu plus mouvementé : notre Gégé national a voulu nous impressionner… Résultat : un soleil (dans tous les sens du terme), un guidon cassé, et une côte fêlée ou cassée. Sacré Gégé (il a de l’énergie à revendre)
Tout au long du séjour, l’ambiance a été au top. On a bien pédalé, bien hydraté aussi (bières, vin, spritz à gogo du soleil dans nos verres), et surtout fêté comme il se doit l’anniversaire de Christian. Encore bonne belle occasion d’hydrater et de fêter ensemble.
Le gîte, selon Béatrice, n’était peut-être pas le plus luxueux… mais il était pile-poil pour nous ! Petits-déjeuners faits maison, salles de bain fonctionnelles, repas champêtre et digestifs artisanaux : on a adoré. Dans notre joyeux petit groupe, on avait un membre assez… sonore. Un véritable ronfleur de catégorie hors pair. Bien sûr, dormir à ses côtés relevait de l’exploit sportif.
On a vu un matelas se balader dans les couloirs, José en quête de paix. Chacun essayait de trouver un refuge. On se serait crus dans « Viens chez moi, j’habite chez une copine », mais version camping sauvage : une coloc’ improvisée.
Marie-Claude et Robert, célèbres à Sault, nous ont permis de partager de beaux moments dans la joie et la bonne humeur.
Nos mollets ont bien chauffé… mais pas qu’eux !(les freins hein)
Merci Francis, car ce séjour prouve qu’avec de l’amitié et un esprit sportif, tout est possible. Fin des anecdotes.
Chantal